| Sujet: (M) KISTEN ᐁ we'll build the dreams we treasure. Mar 12 Juin - 10:42 | |
| lilo ventimiglia © barda | IDENTITY CARD
« kisten wright »
NOM DE COUVERTURE : SETH WORTHINGTONT ᐃ AGENCE(S) : CIA ᐃ DATE, LIEU DE NAISSANCE : AU CHOIX, VINGT-NEUF ANS. ᐃ MÉTIER DE COUVERTURE : AU CHOIX ᐃ IDENTITÉ RÉELLE : KISTEN WRIGHT ᐃ SPÉCIALITÉS : RECRUTEUR, FORMATION DE NOUVEAUX AGENTS, TACTICIEN. ᐃ STATUT CIVIL : AU CHOIX
parlez du caractère de votre personnage ici. utilisez des adverbes, des phrases ; exprimer des manies à lui, de votre choix. en quelques phrases, nous devons pouvoir cerner votre personnage. |
everybody needs a storyHistoire libre. L’histoire est assez libre dans l’ensemble. Le pourquoi il est entré dans la cia, ce qu’il s’est passé avant tout ça c’est à vous de voir. Après pour son histoire plus récente, cela fait un petit moment qu’il recrute des agents et les forme pour sa propre personne. Il a donné beaucoup d’années de sa vie à la cia et désire quitter la firme pour former son propre groupe privé. Pour le moment, il n’en a informé personne si ce n’est les quelques agents qui sont désormais à sa botte. S’il est à Burbank, je dirai que c’est pour recruter un informaticien super doué (à faire en scénario) mais aussi Amy/Andie. C’est la meilleure qu’il ait jamais formé et il la veut, coute que coute.
just between you and me |
- Spoiler:
« Oh vraiment ? » Andie se redressa légèrement sur son lit et tourna la tête pour observe le brun nonchalamment allongé près d’elle. Il avait passé un bras sous sa tête, ce qui mettait en valeur ses muscles. Chose dont il était parfaitement au courant. « Bien évidemment, je suis un homme donc par conséquent, je suis plus à même de te battre. » Relevant un sourcil pour illustrer son scepticisme, elle entreprit de s’asseoir tout en tenant le drap d’une main sur sa poitrine dénudée. « Donc nous, les femmes, nous sommes seulement là pour faire la potiche en arrière fond c’est ça ? » Sarcasme quand tu nous tiens… Elle avait du mal à croire ce qu’elle entendait et était fort heureuse de pouvoir lui prouver qu’au contraire, elle n’était pas une blonde sans cervelle et sans ressource. « Vous faites très bien le tapin aussi. » Bouche bée, elle resta sans voix pendant une seconde avant d’attraper un coussin pour le frapper avec. « Espèce. » Coup. « De. » Coup. « Sale. » Coup. « Macho. » Elle lui sauta dessus et l’écrasa de tout son –maigre- poids. On ne pouvait pas dire qu’elle l’avait prit par surprise mais il se laissa faire alors qu’elle mordillait son épaule pour continuait à lui montrer son indignation. Elle avait finalement comprit qu’il se moquait d’elle mais ce n’était pas une raison pour laisser passer cela. En riant, il passa une main dans les cheveux blonds d’Andie pour lui dégager le visage. « C’est moi qui t’ai entrainé Andie, je sais très bien de quoi tu es capable. » Bien obligée d’acquiescer, elle hocha légèrement la tête avant de la poser sur l’épaule de brun. Le nez dans son cou, elle inspira un bon coup pour se gorger du parfum de Kisten. C’était arrivé si vite, et ce serait terminé aussi rapidement, elle en avait conscience mais ce n’en était pas moins agréable. Cela faisait presque deux ans qu’elle était seule au monde. Elle ne s’était permise aucune attache, aucun sentiment jusqu’à ce qu’on la recrute. Sa facilité à retenir une langue, à jouer la comédie et sa connaissance des arts martiaux avaient clairement joué dans ce recrutement. Elle était officiellement un agent de la cia et aimait cela. Elle avait passée cinq minutes le matin même à répéter son titre devant le miroir, un sourire aux lèvres. Elle n’avait plus de famille mais elle avait fini par trouver un but. Elle faisait partie des gentils.
« Je m’en vais Andie. » La blonde soupira et ferma les yeux. Elle savait que cela allait arriver mais pas si vite. Elle avait à peine eut le temps de profiter de lui, d’un corps chaud près d’elle contre lequel s’endormir. « Quand ? » Sa voix ne portait aucune inflexion, comme si cette nouvelle ne l’affectait aucunement. « Demain. » Elle se figea et sentit son cœur se serrer. Papillonnant les paupières, elle reflua les larmes qui menaçaient de craquer son maque d’impassibilité. Ce n’était pas la peine de lui demander où ni pour quelle raison, elle savait qu’il ne lui dirait pas. Il y avait de grandes chances pour qu’ils ne se revoient jamais. « J’espère que ça va bien se passer. » Faisant remonter sa main le long de son corps, elle la posa sur sa joue qu’elle caressa du bout des doigts. Déjà, elle sentait le vide qui la caractérisait refaire surface.
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