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 ~ but you didn't have to cut me off, make out like it never happened (juliet)

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MessageSujet: ~ but you didn't have to cut me off, make out like it never happened (juliet)   ~ but you didn't have to cut me off, make out like it never happened (juliet) Icon_minitimeDim 10 Juin - 21:39

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► JULIET + ANDREW SABRIMA-SPELLMAN @ TUMBLR
But you treat me like a stranger

Andrew ne savait pas vraiment ce qu'il voulait par rapport à la situation Juliet/Morghanna. Il avait en effet penser une seconde à la dénoncer, à parler du fait qu'elle n'était en aucun cas morte à ses supérieurs mais il avait rapidement sorti cette idée de sa tête, il n'y gagnait rien du tout. Ce n'était pas comme si elle était un quelconque danger pour le pays, elle l'avait aidé tant de fois. Andrew était sûr qu'elle ne ferait rien contre ce pays qu'elle avait tant de fois protéger, du moins, il l'espérait et malgré tout, il lui faisait confiance. Il avait peut-être tord, sûrement même, elle lui avait de nombreuses fois montrer qu'avec elle, il ne fallait jamais se fier aux apparences. Andrew ne pensait pas une seconde que 'Juliet' avait enfin décider à arrêter les mesquineries et faire sa petite vie tranquille en tant que chorégraphe, il savait bien que déjà, elle ne voudrait jamais ça et même si par miracle ou plutôt même magie dans le cas de la jeune blonde, elle le voulait, Andy était sûr qu'elle n'arriverait pas à se contenter d'une vie simple de civil. Bizarrement et malgré le fait qu'il était persuadé qu'elle préparait forcément quelque chose de mauvais, Andrew avait décidé de lui laisser une chance et pas seulement parce qu'il était assez mesquin pour savoir ce qu'elle avait derrière la tête. Andrew avait donc confiance en elle, mais seulement sur le fait qu'elle n'agirait en aucun cas comme un ennemi de l'état et qu'il n'avait donc obligation logique de signaler sa présence à ses supérieurs. De toute manière, cela faisait sûrement un bon moment qu'elle était là, peut-être n'était-elle même pas partie. Morghanna était du genre à vouloir savourer sa victoire de près. Mais était-ce le genre de Juliet ? Andrew ne savait pas vraiment si il devait les séparer. Il connaissait Morghanna par cœur, ou du moins il aimait le dire et ça même si la jeune femme était bien trop perverse pour être toujours comprise par son ancien partenaire; mais il ne connaissait pas Juliet, pas du tout mais elle semblait être une chorégraphe tout à fait respectée dans son métier et elle semblait même avoir un petit ami, cet homme sur la photo que Andrew avait trouvé sur le bureau de la jeune femme, Andrew était persuadé que c'était son petit ami et cela l'étonnait de la part de Morghanna. Elle n'avait pas d'attaches, du moins pas assez pour avoir une photo sur son bureau. Ou peut-être avait-elle vraiment changé ... Peut importait. Andrew ne savait pas trop quoi en penser et c'est pour ça qu'il avait décidé d'arrêté d'y penser.

C'était la résolution de la journée que s'était fixée Andrew : Ne pas y penser. Cela le tuait intérieurement, sa nature curieuse le démangeant terriblement, il avait envie de savoir la vérité mais jamais il s'abaisserait à la demander, il avait bien trop de fierté pour ça et c'est pour ça qu'il devait apprendre à ce contrôler et contrôler son envie de toujours tout savoir et ne pas y penser. Seulement, Juliet ne semblait pas avoir les même plans et Andrew le comprit quand il croisa son regard alors qu'elle était planté devant sa porte. « Juliet. » Il dit d'une voix légèrement agacée, assez agacée pour que la jeune blonde n'est pas l'impression qu'il attendait que sa visite pour en savoir plus sur 'Juliet' et pas trop agacée pour qu'elle ne fasse pas machine arrière et s'en aille sans avoir parlé un peu.
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Juliet Mellark
Juliet Mellark
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MessageSujet: Re: ~ but you didn't have to cut me off, make out like it never happened (juliet)   ~ but you didn't have to cut me off, make out like it never happened (juliet) Icon_minitimeDim 10 Juin - 22:34

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ANDREW AND JULIET
rebel, that's right, i'm on my own, i'll call my own shots, thank you.


Un an était passé depuis ma "mort", un an à tout contrôler, tout surveiller, tout préparer, tout regarder minutieusement, et pourtant, peut-être pas assez puisque dans quelques heures la CIA serait à mes trousses, informée parce ce cher Andrew, dans quelques heures, je devrais avoir décampé d'ici, tout ça parce que j'avais négligé ce détail d'une vie humaine normale, on nous prend en photo et on nous affiche fièrement comme une bête de foire, or, cette fois ci, le clos du spectacle allait réellement avoir lieu si je ne mettais pas un point d'honneur à me barrer de cette ville. J'avais passé trop de temps à jubiler de ma première victoire sur la CIA, temps perdu désormais puisque tout allait se réduire en poussière à cause de ce même homme qui avait précipité ma première mort. Oui dis comme ça, on dirait que je suis un chat et que j'ai neuf vies, mais en fait, pas du tout, c'est juste que j'ai une capacité mentale incroyable et que les plans sortent de mon imagination comme des champignons, c'est ça d'avoir travaillé comme agent secret pendant des années. Et même si je ne faisais plus partie d'aucune agence aujourd'hui, il était clair que je continuais de me comporter comme un vrai agent, éliminant mes traces dans des endroits dits "dangereux pour ma couverture", surveillant mes paroles et mes gestes, contrôlant chaque parcelle de ma jolie petite vie inventée. Oui, j'étais encore un agent secret, mais pour mon propre compte, ce qui en soit, n'était pas plus mal. Bref, je me trouvais à la maison, enfin, dans ce truc où le romantisme traîne partout et m'étouffe à longueur de journée, écrivant un mot à Mason. Quoi ? Écrivant un mot à Mason ? Non Juliet, enfin Morghanna, tu arrêtes ça tout de suite, poses ce stylo, déchire cette feuille. Voilà, c'est bien. Il ne manquait plus que ça, lui écrire un mot d'adieu, comme s'il avait compté ne serait-ce qu'un tant soit peu alors qu'il n'était qu'un vulgaire passe-temps, le pauvre. Après cette grande maîtrise mentale - chose qu'on apprend à pratiquer très souvent en temps qu'agent - j'allais ressortir une tenue confortable pour les fuites et les missions, le genre moulant, noir, passe partout mais aussi sexy qu'on puisse le faire, car c'est fou comme ça amène des avantages. Je pris des affaires que j'avais gardé loin des yeux curieux de Mason, à savoir, des bombes, des armes, des vêtements de mission, mais aussi quelques affaires classiques, histoire d'avoir quelque chose à me mettre une fois ma fuite terminée. Une fois cette préparation effectuée, je mis tout cela à l'abri, pour quand je reviendrais de ma première mission personnelle.

Jubilation. Heureusement, Andrew n'avait pas changé de logement, car j'aurais vraiment perdu du temps à le chercher dans toute la ville et quelque chose me disait qu'il était chez lui, ruminant les derniers évènements, pensant à ce qu'il avait fait, à savoir me dénoncer ou alors se demandant s'il devait le faire et à ce moment là, j'avais encore le temps de le faire disparaître avant qu'il ne parle. De toute façon, quoi qu'il ait fait ou qu'il s'apprête à faire, il n'allait pas y penser encore bien longtemps. Malgré toute la sympathie que j'avais eu pour lui, si on peut dire ça, même si c'était plus, je n'aurais aucun scrupule à appuyer sur la gâchette, encore l'un des avantages d'avoir été un agent secret, on apprend à faire abstraction de toute émotion, de tout sentiment et j'étais une reine dans cet art là, tout le monde le savait à la CIA et notamment Andrew, mon ancien co-équipier. C'est habillée comme pour partir en mission que je débarquai devant sa porte, certes ça n'était pas très prudent, mais je n'en aurais pas pour très longtemps, et s'il ne s'y trouvait pas, alors il aurait une jolie surprise en rentrant, cette fois ça ne serait pas boum Morghanna mais boum Andrew, comme c'est dommage. De la manière la plus discrète possible, j'ouvris la porte de son appartement et me trouvai à deux mètres de lui, debout devant la porte, visiblement à mi-chemin entre l'étonnement et la joie de voir qu'il savait que je viendrais. « Tiens, je pensais que tu m'appellerais autrement, mais Juliet, c'est tout aussi joli pour moi alors ça me va. » Au comble de mon narcissisme comme toujours. J'avançai dans son appartement, prenant soin de refermer la porte derrière moi, tournant dans la pièce qui se trouvait être le salon, les mains sur les hanches, dont une qui touchait le calibre 38 que j'avais dans ma tenue. « Rien n'a changé, c'est pathétique. » J'eus un petit rire mesquin puis fis volte face pour me trouver nez à nez avec Andrew qui semblait se méfier à présent, il n'avait peut-être pas tort, c'était juste de sa part. « Prévisible.. » dis-je en soupirant et en levant les yeux au ciel après avoir aperçu son geste dans sa poche arrière pour attraper son arme.
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MessageSujet: Re: ~ but you didn't have to cut me off, make out like it never happened (juliet)   ~ but you didn't have to cut me off, make out like it never happened (juliet) Icon_minitimeLun 11 Juin - 14:36

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Andrew vivait dans le mensonge depuis toujours. Il y était habitué, comme aux mesquineries, aux secrets, à la manipulation. C'était sa vie et depuis son plus jeune âge, il n'avait que fréquenter le genre de personne ne pouvant s'empêcher d'avoir recourt à toutes ces choses, à des gens manipulateurs et menteurs. Mais Morghanna n'avait pas été qu'une manipulatrice et menteuse de plus, elle était bien plus fourbe, maligne et bien plus convaincante que les autres -peut-être à cause de son visage d'ange, ses yeux de biches ou bien une personnalité si têtue qu'elle n'aurait jamais laissé tomber mais peu importait les raisons, ce qui comptait, c'était qu'elle était bien la personne la plus fourbe et maligne qu'on pouvait rencontrer et c'est pour ça qu'en y repensant, Andrew se demandait comment lui et même la CIA avaient cru une seconde qu'elle se laisserait donner une telle mort, une mort si ordinaire. Comment avaient-ils pu croire qu'elle était bien tombée dans leur piège ? Elle avait réussi à tirer les verres du nez de personnes tellement habituées à la tortures que rien ne pouvait les faire parler et qui se taisent jusqu'à ce qu'on est fini de leur arracher chacune de leurs dents et leur ongles. Andrew avait vu plusieurs fois Moghanna a l'acte, montrant alors qu'elle pouvait faire parler un homme sans même le torturer mais rien qu'avec des mensonges aussi gros que plausibles. Elle trouvait toujours ce juste milieu pour sortir du mensonge banal et souvent bancal sans pour autant rentrer dans le mensonge que même le parfait idiot ne croirait pas. Elle avait impressionné Andrew tant de fois -quoi qu'il en dise à ce sujet- et si elle était capable de tout ça, elle tout à fait capable de comprendre un plan des plus simple mais pourtant tout aussi efficace que d'autres qu'une bombe. Elle avait été entraîné par la CIA et connaissait donc toutes les techniques d'attaque de l'organisation dont elle faisait parti. J'imagine que la CIA comptait bel et bien sur l'effet de surprise. Une bombe avait l'avantage d'être très difficilement contrée : On pouvait éviter une balle, on pouvait plus difficilement éviter une bombe, ou du moins avec tant de facilité et si peu de temps. La bombe avait cependant aussi beaucoup de désavantages, causant de nombreux dégâts qu'on pouvait facilement qualifier de inutiles mais semblait être une des seules manières de tuer un agent de la CIA.

« Tiens, je pensais que tu m'appellerais autrement, mais Juliet, c'est tout aussi joli pour moi alors ça me va. » Andrew avait déjà une réponse à ses nombreuses question : Elle n'avait pas changé d'un poil. Il avait bel et bien Morghanna en face de lui, ce n'était pas Juliet. C'était la vieille Morghanna qu'il avait toujours connu, sa coéquipière. Elle était la seule personne qui aurait possiblement pu parler comme ça. Elle pénétra un peu plus dans la pièce. Habitude d'agent, Andrew ne put s'empêcher de remarquer l'arme de la jeune femme mais à vrai dire, il n'avait pas pensé une seconde qu'elle viendrait sans aucune armes. Elle était certes très forte au combat au corps à corps mais elle savait que l'appartement d'Andrew était rempli d'armes et qu'il n'hésiterait pas à s'en servir. Ils avaient peut-être été partenaires dans le passé, ce temps était fini, ce n'était plus le bien de l'équipe sinon rien, c'était chacun sa poire et malgré tout ses talents de combattante, elle savait qu'elle n'avait aucune chance contre une arme à feu et encore plus quand celle-ci était tenue par un ancien sniper. Elle savait bien qu'Andrew avait toute l'expérience nécessaire pour ne pas rater sa cible. « Rien n'a changé, c'est pathétique. » Elle dit avec un petit rire alors qu'elle se retournait vers le brun. « Qu'est-ce que tu veux, Morghanna ? » demanda t-il. Il savait bien que ce n'était pas une petite visite de courtoisie pour venir prendre de ses nouvelles après un an d'absence. Il la connaissait trop bien pour y croire et il savait qu'elle n'essayerait même pas de lui faire avaler ce mensonge. Andrew avait une petite idée de la raison de sa présence : Elle voulait le faire taire. Elle ne voulait pas se faire attraper par la CIA et même si elle quitter les lieux, elle ne voulait personne à sa recherche. Andrew la savait prête à beaucoup pour pouvoir avoir ce qu'elle voulait et c'est pour ça qu'il posa rapidement sa main sur son arme, placée dans sa poche arrière. « Prévisible.. » murmura alors Juliet d'un air arrogant. Andrew saisit alors son arme à pleine main pour la sortir de sa poche. « Raisonnable. » Il répliqua alors. Ce n'était pas vraiment son genre, il était bien plus impulsif et réagissait sur le moment sans pour la plupart du temps avoir un quelconque plan de secours mais il savait bien que ça ne suffirait pas pour ne pas finir avec une balle dans la tête quand on a Morghanna devant soit. Elle était capable de tout et c'est pour ça que la méfiance était plus que recommandée dans ce cas-là.
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Juliet Mellark
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MessageSujet: Re: ~ but you didn't have to cut me off, make out like it never happened (juliet)   ~ but you didn't have to cut me off, make out like it never happened (juliet) Icon_minitimeVen 15 Juin - 19:49

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ANDREW AND JULIET
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(FLASHBACK, ONE YEAR AGO) « Chuuut, tu ne voudrais tout de même pas que le boss rapplique maintenant ? » « Peut-être qu'il aime les parties à trois ! » dis-je en haussant les épaules, un sourire coquin sur les lèvres, détachant la chemise d'Andrew, pour la deuxième fois de la semaine. Les pulsions sexuelles se faisaient de plus en plus forte entre nous, il faut dire que nous n'avions pas vraiment de vie privée en faisant ce métier et nous passions notre temps ensemble; il était tout à fait mon genre, j'étais une vraie bombe, alors pourquoi se priver ? D'accord, vous me direz, c'est mal, on ne couche pas avec ses collègues, surtout dans un métier comme le notre, patati patata.. Et encore, s'ils savaient que j'avais des sentiments pour Andy. C'était bizarre, venant de moi, mais c'était le cas, même si je les cachais bien, très bien même, affichant ma froideur habituelle afin de ne rien montrer. « T'es une grande malade Morghanna ! » « Un peu, mais ça n'a pas l'air de t'déranger plus que ça... » En réponse à ma phrase il me souleva du sol et me plaqua contre le mur, non, ça ne le dérangeait aucunement, au contraire, nous étions pareils. (NOWADAYS) Me retrouver face à lui était assez comique, nous toisant, comme si l'un allait sauter sur l'autre pour le tuer sur le champ. Mais lui et moi on savait très bien qu'il n'oserait pas, du moins, pas tant que je ne ferais rien, ce qui était moins certain, car malgré notre histoire passée, ma sécurité était plus importante. « Morghanna maintenant ? Je vais finir par ne plus savoir comment je m'appelle ! » j'eus un léger rire, le genre diabolique et plein d'arrogance puis je sortis mon arme en voyant la sienne. « Certes, de toute manière, tu sais que si je voulais te tuer, je n'aurais pas tant attendu. » Faux, mais après tout, je voulais voir s'il croyait toujours à mes mensonges, car oui Andrew décernait toujours le vrai du faux mais pas avec moi, à croire que j'étais une meilleure menteuse que la plupart des gens -non en fait, c'est le cas. Je m'assis alors dans un fauteuil, puis lançai mon arme sur la table. « Un café tu aurais ? Oui je n'aime pas menacer les gens sans avoir quelque chose à boire... » Et le s'il te plaît c'est pour les chiens ? En l'occurrence, oui.

Amis ? Ennemis ? Nous étions sûrement plus la dernière option en ce moment mais à une époque sa vie était la mienne et ma vie était la sienne, nous étions une équipe et parfois nos collègues nous disaient que nous ne faisions qu'un, que c'était difficile de nous différencier, excepter par le genre bien sûr. A une certaine époque, je me serais sûrement jetée au feu pour le sauver mais cette fois, c'était différent, il faudrait que je le jette lui au feu pour pouvoir me sauver moi. « Bon, on va pas tourner autour du pot, ni papoter parce que je me fous de ta vie.. Tu comptais me dénoncer ? » Malheur à lui s'il me répondait oui, mais même si c'était le cas, je doute qu'il me dirait la vérité, à moins qu'il soit devenu honnête mais ça m'étonnerait, si moi-même je n'avais pas changé en me mettant dans la peau de sweetie Juliet, lui n'avait pas changé du tout non plus, ma "mort" et mon immense mensonge l'avait peut-être même rendu plus détestable et irritable, tant mieux on allait pouvoir s'amuser. Il me dévisageait comme s'il essayait de distinguer quelque chose ou comme s'il voyait un fantôme, c'était trop drôle à voir, je regrettais un peu de ne pas le filmer.
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MessageSujet: Re: ~ but you didn't have to cut me off, make out like it never happened (juliet)   ~ but you didn't have to cut me off, make out like it never happened (juliet) Icon_minitimeDim 17 Juin - 17:21

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► JULIET + ANDREW SABRIMA-SPELLMAN @ TUMBLR
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Deux jours plus tôt, qu'on évoque cette situation aurait fait rire Andrew. Il aurait rit au nez à la personne en ayant parlé puisque dans son esprit, Morghanna était morte. Mais en ce jour, tout semblait bien plus concret et Andrew n'était pas d'humeur à rigoler. Il connaissait assez la jeune femme pour savoir qu'elle riait bien de la situation puisque elle était pour sûr dans la position de force. Elle savait très bien qu'il ne l'abattrait pas sans raison. Tant qu'elle n'aurait pas montrer aucun signe de violence -du moins plus importe que le flingue chargé qu'elle tenait dans sa main qui bien qu'on pouvait tout à fait qualifier de violence, n’inquiétait pas tant que ça Andrew. Il était aussi armé qu'elle de toute manière -, Juliet savait que son ancien collègue ne lui ferait rien. Et c'était bien la la pire faiblesse d'Andrew puisqu'en plus de ses capacités de menteuse professionnelle qui lui rendait la tâche de départager le vrai du faux tout d'un coup bien plus simple, Juliet connaissait aussi Andrew et que bien qu'il adorait plus que tout les armes à feu, il ne l'utiliserait pas sans raison, du moins par sur elle. « Morghanna maintenant ? Je vais finir par ne plus savoir comment je m'appelle ! » Il avait oublié à quel point elle pouvait l'agacer quelques fois. Il avait aussi oublié à quel point elle pouvait être bien plus attirante quand elle devenait agaçante. Il eut une soudaine envie de se gifler intérieurement. Peu importe. Il n'avait qu'à lui montrer qu'elle ne l'agaçait pas puisqu'elle aurait déjà tout gagner et c'en était hors de question. « Plus besoin de se demander pourquoi la CIA voulait plus de toi si tu arrives même plus à te souvenir de ton prénom. » déclara t-il tout en sachant pertinemment que ce n'était pas les compétences ou le manque de compétences de la jeune blonde qui avait failli lui coûter la vie. « Certes, de toute manière, tu sais que si je voulais te tuer, je n'aurais pas tant attendu. » Elle avait un bon point. Ce qui restait dans l'esprit d'Andrew était bien ce qui la retenait puisque de toute manière, une personne au courant n'était qu'un danger de plus pour elle et même si il ne parlait pas, la haine qu'elle avait pu entretenir contre la CIA ne sera en aucun cas gênée par un de leurs agents en moins. Peut-être n'avait-elle pas envie d'avoir à se débarrasser du corps ou tout simplement ne voulait pas attirer l'attention de l'agence qui ne perd pas un agent sans aucune mission tous les jours. En effet, Andrew venait de terminer sa dernière mission et n'avait donc personne qui théoriquement en voudrait à sa peau et un meurtre sorti de nul part paraît toujours louche. Vous allez me dire que c'est vrai, Morghanna aurait pu déjà être loin de la vie avant même qu'il découvre le corps, c'est pas comme si Andrew avait beaucoup d'amis en ville qui allaient se soucier de lui. Son patron peut-être mais il ne semblait pas y accorder beaucoup d'importance vu le nombre de fois où Andrew devait se faire remplacer.

« Un café tu aurais ? Oui je n'aime pas menacer les gens sans avoir quelque chose à boire... » dit-elle en lançant son arme sur la table. Andrew rangea alors son arme avant de s'assoir en face de Juliet dans un autre fauteuil. « La ferme, Morghanna. Viens-en aux faits. » déclara t-il, s'impatientant, mais n'osa pourtant pas le ton. Il savait bien qu'elle n'était pas là boire un petit café tranquille entre anciens collègues. Non, ce n'était pas elle, c'était peut-être Juliet - à vrai dire Andrew connaissait que très peu de sa couverture, donc il ne pouvait dire - mais ce n'était pas Morghanna et c'était définitivement Morghanna en face de lui. « Bon, on va pas tourner autour du pot, ni papoter parce que je me fous de ta vie.. Tu comptais me dénoncer ? » Andrew plaça alors sa main dans son dos, s'assurant de pouvoir saisir son arme avant que la jeune blonde puisse saisir la sienne en cas de dérapage. « Qu'est-ce qui te dis que je ne l'ai pas déjà fait ? » dit-il en laissant apparaître un rictus au coin de ses lèvres et levant un de ses sourcils.
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